
L’esclave du gang (Warner Bros, 1951). France 120 x 160.
Joan Crawford, rouge à lèvres aux couleurs de sa chevelure rouquine, les yeux éclatant de vert, et vêtue d’une robe noire et de gangs assortis, se tient de manière opulente et sexy devant le spectateur. Quoi de plus vendeur pour ce film que le portrait de l’actrice magnifiquement dessiné par Boris Grinsson? On en vient presque à oublier l’individu armé qui se tient derrière la femme fatale. L’expression aveuglée par le charme et la beauté fatale, l’homme n’en demeure pas moins menaçant avec son revolver. Est le chef du gang?