
L’homme qui en savait trop (Paramount, 1956). France publicité.
Publicité du célèbre film d’Hitchcock, qui est en fait la seconde version du réalisateur après celui de 1933. Signé Claude Venin.
L’homme qui en savait trop (Paramount, 1956). France publicité.
Publicité du célèbre film d’Hitchcock, qui est en fait la seconde version du réalisateur après celui de 1933. Signé Claude Venin.
L’ultime razzia (RKO, 1956). France DP.
Le film qui lança la carrière de Stanley Kubrick!
L’ultime razzia (RKO, 1956). France DP.
L’ultime razzia (RKO, 1956). France DP.
L’ultime razzia (RKO, 1956). France DP.
L’ultime razzia (RKO, 1956). France DP.
L’ultime razzia (RKO, 1956). France DP.
L’ultime razzia (RKO, 1956). France DP.
L’ultime razzia (RKO, 1956). France DP.
L’ultime razzia (RKO, 1956). France DP.
Maigret dirige l’enquête (Pathé, 1956). France 120 x 160.
Vingt-deux… V’la Maigret! Le célèbre commissaire accompagné de sa fidèle pipe revient pour trois nouvelles enquêtes. Cette fois interpréter par Maurice Manson, le personnage de Simenon est prêt à en découdre avec les criminels.
Dans une ambiance obscure, Jean Mascii dépeint une scène macabre où sexe et meurtre sont intimement liés. Au seuil de la porte, le commissaire se dirige vers le corps violenté et abandonné d’une jeune fille. La silhouette de Maigret dans le halo de lumière symbolise l’aboutissement de l’enquête sur le meurtre de la malheureuse. Dominant la scène de cime, une course-poursuite en voiture encercle le portrait concentré du fumeur de pipe.
Invraisemblable vérité (RKO, 1957). France 120 x 160.
Une affiche simpliste mais dont les portraits sont magnifiquement dessinés par Soubie. La troublante vérité se cache derrière les barreaux de cette prison qui présume de la culpabilité du héros. Le titre cependant, fait monter le suspens, et remet en cause l’incarcération légitime de l’individu!
Le faux coupable (Warner Bros, 1957). France 120 x 160.
Magnifique lithographie de Jean Mascii. La création de l’artiste reflète bien le suspense d’Alfred Hitchcock. Le visage très fidèle d’Henry Fonda affiche un regard surpris et inquiet, supporté par la compassion de Vera Miles en arrière plan. Les couleurs sombres invitent le futur spectateur dans une ambiance dramatique. Quant au rouge omniprésent, il place l’acteur principal dans une position de culpabilité. Le titre quant à lui en dit trop et pas assez… Suspense!